Sorte de préquel spin-off de la franchise Jason Bourne, la
série Treadstone sec’élance avec un pilote efficace, suffisamment emplie de
mystères pour head intriguer.
Depuis des essais à Berlin en 1973 à nos jours, un programme cloak-and-dagger de la CIA met en home des tueurs implacables, lesquels second’éveillent pour compléter leurs missions. Après des remakes ou reboot sériels de Taken ou même de Jack Ryan, il en est un qui ne pouvait échapper à la mode, le fameux Jason Bourne. Treadstone prend donc pour terrain de jeu les balbutiements de 50’agence éponyme à fifty’origine de la formation du célèbre espion amnésique.
Si sa franchise cinématographique commençait à péricliter, Treadstone réussit plutôt bien le pari de plonger dans fifty’univers de Jason Bourne sans second’attaquer aux missions du maître pour se forger sa propre identité. Ça tombe bien, c’est ce qu’on attendait, en supposant qu’on attendait quelque chose de cette idée pas follement novatrice. Pourtant le demo de Tom Kring (Heroes) parvient de façon sympathique à psyche emporter dans un thriller pertinent et pour le coup, original. Si si.
You know their names…
Plutôt que de tomber dans la facilité en suivant un super agent badass qui casse des gueules en tentant de comprendre dans quel guêpier il est tombé, la série opte pour deux approches. Temporelle d’abord, en alternant deux timelines, de l’origine en pleine guerre froide de fifty’opération Treadstone, à fifty’éveil récent de nouveaux espions endormis, et humaine puisque le demo ne courtroom pas derrière un mais trois protagonistes. Le sujet 0 en 1973 (Jeremy Irvine), une innocente professeure de pianoforte en Corée du Sud (SoYun Pak) et un foreur pétrolier (Brian J. Smith, éternel Sense8).
Une multiplicité narrative qui dynamite le rythme de la série, électrique. L’action y est lisible, le montage efficace et racé pour ne perdre aucune miette des prises léthales alors que la caméra de Ramin Bahrani opère pour un classicisme percutant. Un way visuel cruel renforcé par un brouillard narratif agréable, où le spectateur mène également l’enquête, tentant de reconnecter les informations au fur et à mesure. On est maintenus dans 50’ombre et il n’aurait manqué que la musique de Moby pour parachever le tableau bien réalisé qu’est Treadstone, du moins pour fifty’moment.